Un oeil sur la presse à caractère religieux
Faîtes le bilan de l'année 2005 pour que 2006 soit meilleure!
Une molécule de la foi découverte
Manque de sincérité dans le couple
Porter atteinte aussi outrageusement à un personnage sacré, à l’élu de Dieu, au meilleur des hommes que l’humanité ait pu connaître tout au long de son histoire. A l’homme le plus sincère, le plus honnête, le plus bon, le plus tolérant, le plus clément, le plus doux, le plus généreux.
A l’être le plus fidèle aux principes le plus hautement humains qu’un homme peut porter dans son cœur, respecter avec autant de constance sa vie entière, et s’évertuer à appliquer avec un aussi grand scrupule, une si profonde sincérité, une admirable bravoure et un courage exemplaire, qu’était notre prophète –Prière et Salut de Dieu soit sur lui-.
Ce n’est plus un problème de liberté d’expression qu’un problème de discernement entre le mal et le bien, entre le bon et le mauvais. Et il est triste de constater que l’humanité se trouve encore dans la brume concernant les grandes valeurs humaines, à savoir le respect de l’autre, de ses mœurs, de son appartenance religieuse, de ses idéaux et de ses guides spirituels.
Pour nous musulmans, notre guide depuis 14 siècles et pour toujours est le Prophète Mohammad –que le Salut de Dieu soit sur lui-. Celui qui ne respecte pas cela au nom de la liberté d’expression n’a rien compris aux droits de l’homme qui sont, à mon sens, plus importants que la liberté d’expression, même si cette dernière en fait partie.
Le monde aujourd’hui se trouve indubitablement à un tournant de son existence où il doit remettre en cause ses lois internationales et ce, pour le bien de l’humanité entière. Il est temps d’établir des lois imposant le respect de l’autre, de sa culture, de ses croyances religieuses, et de ses symboles spirituels. Il n’est plus tolérable qu’une personne sur cette planète puisse porter atteinte à une autre personne sans être condamnée, au nom de la liberté d’expression ! La liberté n’est pas absolue ; elle se termine là où commence celle des autres.
Ce même prophète qui a été l’objet de blasphèmes, a dit dans un de ses hadiths :
” Aucun d’entre vous n’est un véritable croyant tant qu’il n’aime pas pour son frère ce qu’il aime pour lui-même ”. Il y a dans cette maxime, un profond respect de l’autre, déterminé, délimité, nuancé par le simple fait que nul ne doit causer un tort dont il n’aimerait pas être victime lui-même !